• MéChAnTs... on a aussi une gendarmerie.

    Je profite de la photo pour rapporter une scène de village (je n'y étais pas, on me l'a raconté... donc les propos ne seront pas tout à fait exacts mais les faits, oui!):

    Deux rastas à la terrasse d'un "café" fument (dois-je préciser?).

    La camionnette bleue arrivent, les petits bonhommes kakis alias les gendarmes en sortent... jusque là, rien de surprenant...

    Les petits bonhommes kakis: Bonsoir.

    Les Rastas: Bonsoir.

    Les petits bonhommes kakis à un rasta qui fumait toujours: Euh, c'est quoi que tu fumes?

    Le rasta: Ben une cigarette.

    Les petits bonhommes kakis: ça ressemble quand même à de la drogue. Donne ton sac, on va regarder ce qu'il y a dedans?

    Le rasta: Non!

    Les petits bonhommes kakis: En fait, nous, on est les gendarmes et c'est nous les chefs, tu dois nous donner ton sac.

    Le rasta: Non!

    Les petits bonhommes kakis: on représente l'autorité, tu dois nous donner ton sac.

    Le rasta: Non!

    Les petits bonhommes kakis: Bon et bien, on le prend alors!

    Là les gendarmes prennent le sac: le rasta se lève alors d'un bond... arrache son sac des mains des gendarmes et s'enfuient en courant... si! si! c'est un petit village mais ils se passent des trucs hein!

    Là les gendarmes interrogent le second rasta pasque le premier trop y coure vite!

    Les petits bonhommes kakis:Dis, c'est qui lui? tu peux nous donner son nom.

    Le rasta: ben, nan, je le connais pas...

    Les petits bonhommes kakis: attends t'étais avec lui...

    Le rasta: nan, nan, vraiment, je le connais pas!

    10 minutes plus tard.. retour du rasta n°1, sac à la main...
    Je vous laisse une petite minute pour vérifier qu'on est pas le 1er avril...

    Pas le 1er avril, on est d'accord!hein!
    Donc retour dudit rasta number one! qui se dirige tout penaud (enfin j'imagine) vers les gendarmes, tend son sac et dit:
    "je m'excuse, je sais pas ce qui m'a pris tout à l'heure, vous pouvez regarder dans mon sac."

    Je ne sais pas s'ils ont accepté les excuses puisque la suite de cette histoire s'est déroulé à huit clos, le rasta number one ayant été conduit au local si joliment décoré que je vous présente ci-dessus.

    Moralité: euh... tiens, je vous laisse la faire!

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  • Suite à un désaccord presque fondamental avec une amie qui se reconnaîtra... j'en appelle au vote du public...

    Voilà le thème du débat: "Dora à l'école maternelle pour les enfants non-francophones"

    Je ne vous dis pas mon avis mais je vous invite à prononcer le vôtre, de manière anonyme bien sûr, dans le post-it... Comme ça je pourrais dire à ma copine : "T'as vu quand même, le public est d'accord avec moi!" Sachant que ce n'est pas n'importe quel public... puique c'est celui de mon blog! C'est tout de même une preuve! Merci de laisser vos voix!

    Rédigé à 9h31, 26°, 81%
    PS: euh, copine, essaye pas de tronquer les votes... tu pourras pas, t'as droit qu'à 1 vote!!

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  • Puisque mon week-end se déroule plutôt dans la cuisine... mon blog en fera de même! Je tape ce texte (mais pas trop fort quand même) dans les odeurs d'un boeuf bourguignon...qui mijote... qui mijote... qui mijote...

    On parle le plus souvent de "nom d'oiseau" alors qu'on pourrait très bien dire "nom de piment". Je m'explique:

    Sûrement que nombres d'entre vous connaissent le célèbre "bondamanjack", piment antillais tenant sa réputation à sa force, sa "chaleur", son "feu" et dont le nom signifie "la partie supèrieure des membres inférieurs (suis déjà référencée à "pénis d'âne" chez google alors on ne m'y reprendra plus!!!!) de la mère Jacques". Bon, je ne la connaissais pas personnellement mais une fois qu'on a goûté ce piment qui l'honore, on se doute bien que ça devait être quelqu'un, pour le moins!

    Sûrement moins nombreux d'entre vous (je l'ai découvert hier) connaissent le "agiumanam" (oui!oui! celui de la photo qui flotte dans son bon bouillon de blaff!), notre piment fort local et qui pour sa part signifie : "il donne un nom à la femme" parce que le jour où une femme cuisine avec, ça embaume tellement le village qu'à partir de ce moment, on reconnait cette femme.

    Rédigé à 9h24, 26°C et 81%...

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